Quand trop peu d'employeurs signifie des salaires trop bas

15.03.24

#UNIeuropaFWD

Dans une nouvelle tribune pour l'Europe sociale, Oliver Roethig, secrétaire régional de UNI Europa , et Stan de Spiegelaare, directeur de la politique et de la recherche de UNI Europa , affirment que la négociation collective peut remédier à la vulnérabilité des travailleurs qui se trouvent sur un marché du travail d'acheteurs.

Quand trop peu d'employeurs signifie des salaires trop bas

Un trop petit nombre d'employeurs est néfaste pour les travailleurs. Cette concentration confère aux entreprises un pouvoir considérable en matière de fixation des salaires, ce qui permet aux employeurs d'imposer leurs conditions :

Imaginez un homme à la recherche d'un emploi, mais il n'y a que quatre employeurs viables pour son profil. Il aura du mal à négocier un bon salaire car ses possibilités - et donc son pouvoir de négociation - sont limitées. Imaginez maintenant que sa sœur, en revanche, ait 50 employeurs parmi lesquels choisir. Comme elle a plus de poids auprès de son employeur potentiel, il est fort probable qu'elle obtienne un salaire plus élevé.

Dans un nouvel article d'opinion analytique pour Social Europe, Oliver Roethig, secrétaire régional de UNI Europa , et Stan de Spiegelaare, directeur de la politique et de la recherche de UNI Europa , affirment que la négociation collective est la solution. Lisez l'intégralité de l'article d'opinion ici.

Réunions et événements

2024

14

Mai

Projet PHSDialogue : 1ère session plénière du dialogue social PHS à Bruxelles le 14 mai

14 mai 2024, 9h-16h CET | UNI Europa & EFSI Offices in Brussels

- Réunion préparatoire conjointe d'UNI et de l'EFFAT (matin, bureau UNI Europa )
- 1ère session plénière du dialogue social PHS (après-midi, bureau EFSI)

Les affiliés d'UNI Care Europa peuvent s'inscrire en utilisant le formulaire d'inscription ci-dessous.

22

Mai

Protégé : Réseau des CEE du commerce et du tourisme - 22 mai 2024

Commerce

22

Mai

Réunion du réseau des CEE du commerce et du tourisme